Les limites de l’attente
« Une heure… Je lui donne une heure. Une heure de retard, c’est le maximum qu’une femme puisse supporter. Une femme comme moi, en tout cas. Une femme heureusement mariée, belle, reconnue belle, désirable, désirée. »
Ainsi débute la nouvelle « Quelques larmes dans le vin rouge » de Françoise Sagan (dans le recueil Musiques de scène).
Je ne vous raconte pas la suite, mais vous propose de l’écrire ou de la représenter (dessin, collage…) à votre idée !
Si vous voulez de l’aide, je peux vous suggérer l’élément suivant : une rencontre inattendue sur ce banc où s’installe l’attente…
À vos crayons / à vos images !
Et comme toujours, partagez vos créations dans les commentaires 😉